Back to Top

Lamento Video (MV)






Alain Barrière - Lamento Lyrics




S'il revenait de faire en moi le bilanDe voir ce qu'il reste de mes rêves d'enfantsJe crois qu'à tout prendre il me vient un regretCe droit ce pouvoir que personne n'eut jamaisOui cette vie là qu'un jour on m'a concédéeÀ deux êtres au moins j'aurais voulu la donnerOh oh oh oh .......Passant par l'Espagne j'aurais voulu dire encoreUn dernier adieu au merveilleux matadorMais celui que j'aimais ne jouait pas de l'épéeIl chantait l'Espagne et les nuits chaudes et l'étéQue par les montagnes se répercute l'échoL'Andalousie pleure entend-là FédéricoOh oh oh oh .......J'avais un ami de l'autre côté des mersL'un des derniers justes il allait droit le front fierMais dans ce monde fou dès qu'une étoile paraîtCela suffit bien pour qu'on l'éteigne à jamaisQuand le berger tombe piétiné par les brebisVois que nos mains tremblent à ton nom John KennedyOh oh oh oh .......Tout cela n'est rien si déjà je pouvais croireEn nos lendemains sans me raconter d'histoireMais, mais s'il fut des hommes donc la sagesse étonnaitNotre pauvre monde s'en éloigne à jamaisEt la guerre dure à tout ce que l'on m'a ditDepuis tant de siècles mais on a donc rien comprisOh oh oh oh .......
[ Correct these Lyrics ]

[ Correct these Lyrics ]

We currently do not have these lyrics. If you would like to submit them, please use the form below.


We currently do not have these lyrics. If you would like to submit them, please use the form below.




S'il revenait de faire en moi le bilanDe voir ce qu'il reste de mes rêves d'enfantsJe crois qu'à tout prendre il me vient un regretCe droit ce pouvoir que personne n'eut jamaisOui cette vie là qu'un jour on m'a concédéeÀ deux êtres au moins j'aurais voulu la donnerOh oh oh oh .......Passant par l'Espagne j'aurais voulu dire encoreUn dernier adieu au merveilleux matadorMais celui que j'aimais ne jouait pas de l'épéeIl chantait l'Espagne et les nuits chaudes et l'étéQue par les montagnes se répercute l'échoL'Andalousie pleure entend-là FédéricoOh oh oh oh .......J'avais un ami de l'autre côté des mersL'un des derniers justes il allait droit le front fierMais dans ce monde fou dès qu'une étoile paraîtCela suffit bien pour qu'on l'éteigne à jamaisQuand le berger tombe piétiné par les brebisVois que nos mains tremblent à ton nom John KennedyOh oh oh oh .......Tout cela n'est rien si déjà je pouvais croireEn nos lendemains sans me raconter d'histoireMais, mais s'il fut des hommes donc la sagesse étonnaitNotre pauvre monde s'en éloigne à jamaisEt la guerre dure à tout ce que l'on m'a ditDepuis tant de siècles mais on a donc rien comprisOh oh oh oh .......
[ Correct these Lyrics ]


Tags:
No tags yet