L'Homme en quête de profit et pourriture tue l'étendue bleue
La baleine s'arrête mais la chasse, elle, continue de
Fragiliser et malmener l'Océan déjà naufragé
Pillage bien trop global, un mal inéluctable
S'empare de l'immensité, l'ampute de sa bonté
Les mers se vident, ils paient liquide
Déversent liquide, enculent solide
Pillage bien trop global, un mal inéluctable
S'empare de l'immensité, l'ampute de sa bonté
L'ampute de sa bonté, l'ampute de sa bonté
Regarde
Regarde
L'appétit de l'Être affamé ne sera jamais rassasié
Générosité exploitée, équilibre menacé
Un mal bien trop global s'empare de l'immensité,
L'ampute de sa bonté, l'ampute de sa bonté
Regarde
Regarde l'Océan périr
Regarde ! Ouvre tes yeux
Regarde, regarde, regarde
Regarde l'Océan souffrir
Regarde l'Océan périr
Regarde ! Ouvre tes yeux
Regarde, regarde, regarde
L'appétit de l'Être vorace ne sera jamais rassasié
Et déjà à la surface, les ailerons pointent leur nez
Le grand prédateur n'est pas épargné ! Privé
De sa dignité, sectionné, amputé et rejeté
Dans les profondeurs tout prêt à succomber
L'ennemi rassuré, les ailerons-mangeurs vont se baffrer
Fragiliser et malmener l'Océan déjà naufragé
Pillage bien trop global, un mal inéluctable
S'empare de l'immensité, l'ampute de sa bonté
L'ampute de sa bonté, l'ampute de sa bonté
Regarde l'Océan souffrir
Regarde l'Océan périr
Regarde ! Ouvre tes yeux
Regarde, regarde, regarde
Regarde l'Océan souffrir
Regarde l'Océan périr
Regarde ! Ouvre tes yeux
Regarde, regarde, regarde