Ma narine applaudit
À tes roses fanées Delmet
Tes septembre, tes mai
Je ne les connus point
Leurs airs énamourés,
Leurs ruses de benjoin...
Moi je vis au temps des roses dans le poing
Tu les préférais désarmées
Mais il y aura encore un homme
Avec un cœur plein de pavés
Pour se noyer dans le royaume
Des morts
Et dans leur au delà
Se laver