La fin de l'année c'est toujours la même
Cerveau ne voit plus que des problèmes
Fleur fanée n'écrit plus de poèmes
Condamnée à comprimer l'abdomen
La déprime de retour sans crier gare
La bêtise me retourne je suis plié gars
Ma petite vie toujours dans l'encrier noir
L'appétit ne revient qu'à minuit et quart
Bédo à la bouche, j'ai la sève qui monte
La parano revient, j'ai la lèvre qui tombe
Perdu dans les limbes de ma peine qui gronde
Ma tête prise en otage par un ter de Skunk
Si j'étais plus malin je ne fumerais pas
C'est mon cœur et ma tête que ma plume sépare
Mes sensations, mes émotions en milles éclats
Le petit poucet tente de suivre les pas
Mes heures de déprime me guettent
Mes heures de déprime me shoot
Mes heures de déprime me renvoient
Tout à l'arrière du convoi
J'ai construit une prison mentale
Dans laquelle je me sens mal
Et parfois je m'y retrouve bloqué
Il n'y a personne et j'ai beau toquer
Mais tu sais je crois que j'ai compris un truc si tu lâches prise
La déprime c'est du sucre ouais c'est du cash fils
Les gens se gargarisent avec tous les jours
Comme si c'était une taff quali d'amnes' bien lée-rou
Je peux te le jurer j'y ai passé pas mal de temps
Bien assez pour te dire qu'on se sent mieux en sortant
Grands esprits torturés ne naviguent que sur des tourbillons
Et n'ont de cesse de se cuire la rate au court-bouillon
Combien de fois je me suis fait prendre dans le piège quand
Tout seul dans mon siège blanc, j'étais pas à l'aise non
Je cherchais l'apaisement au milieu d'un soulèvement
Froissé comme un vêtement je me perdais bêtement
J'avais beau ouvrir les yeux la vision était noire
C'est comme si j'étais aspiré par un entonnoir
Seul dans une immense pièce qu'on y pense c'est
Comme une danse mais là tous tes membres saignent
Mes heures de déprime me guettent
Mes heures de déprime me shoot
Mes heures de déprime me renvoient
Tout à l'arrière du convoi
J'ai construit une prison mentale
Dans laquelle je me sens mal
Et parfois je m'y retrouve bloqué
Il n'y a personne et j'ai beau toquer
Femme Fatale - Déprime Lyrics
Femme Fatale - Déprime Lyrics
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La fin de l'année c'est toujours la même
Cerveau ne voit plus que des problèmes
Fleur fanée n'écrit plus de poèmes
Condamnée à comprimer l'abdomen
La déprime de retour sans crier gare
La bêtise me retourne je suis plié gars
Ma petite vie toujours dans l'encrier noir
L'appétit ne revient qu'à minuit et quart
Bédo à la bouche, j'ai la sève qui monte
La parano revient, j'ai la lèvre qui tombe
Perdu dans les limbes de ma peine qui gronde
Ma tête prise en otage par un ter de Skunk
Si j'étais plus malin je ne fumerais pas
C'est mon cœur et ma tête que ma plume sépare
Mes sensations, mes émotions en milles éclats
Le petit poucet tente de suivre les pas
Mes heures de déprime me guettent
Mes heures de déprime me shoot
Mes heures de déprime me renvoient
Tout à l'arrière du convoi
J'ai construit une prison mentale
Dans laquelle je me sens mal
Et parfois je m'y retrouve bloqué
Il n'y a personne et j'ai beau toquer
Mais tu sais je crois que j'ai compris un truc si tu lâches prise
La déprime c'est du sucre ouais c'est du cash fils
Les gens se gargarisent avec tous les jours
Comme si c'était une taff quali d'amnes' bien lée-rou
Je peux te le jurer j'y ai passé pas mal de temps
Bien assez pour te dire qu'on se sent mieux en sortant
Grands esprits torturés ne naviguent que sur des tourbillons
Et n'ont de cesse de se cuire la rate au court-bouillon
Combien de fois je me suis fait prendre dans le piège quand
Tout seul dans mon siège blanc, j'étais pas à l'aise non
Je cherchais l'apaisement au milieu d'un soulèvement
Froissé comme un vêtement je me perdais bêtement
J'avais beau ouvrir les yeux la vision était noire
C'est comme si j'étais aspiré par un entonnoir
Seul dans une immense pièce qu'on y pense c'est
Comme une danse mais là tous tes membres saignent
Mes heures de déprime me guettent
Mes heures de déprime me shoot
Mes heures de déprime me renvoient
Tout à l'arrière du convoi
J'ai construit une prison mentale
Dans laquelle je me sens mal
Et parfois je m'y retrouve bloqué
Il n'y a personne et j'ai beau toquer
Cerveau ne voit plus que des problèmes
Fleur fanée n'écrit plus de poèmes
Condamnée à comprimer l'abdomen
La déprime de retour sans crier gare
La bêtise me retourne je suis plié gars
Ma petite vie toujours dans l'encrier noir
L'appétit ne revient qu'à minuit et quart
Bédo à la bouche, j'ai la sève qui monte
La parano revient, j'ai la lèvre qui tombe
Perdu dans les limbes de ma peine qui gronde
Ma tête prise en otage par un ter de Skunk
Si j'étais plus malin je ne fumerais pas
C'est mon cœur et ma tête que ma plume sépare
Mes sensations, mes émotions en milles éclats
Le petit poucet tente de suivre les pas
Mes heures de déprime me guettent
Mes heures de déprime me shoot
Mes heures de déprime me renvoient
Tout à l'arrière du convoi
J'ai construit une prison mentale
Dans laquelle je me sens mal
Et parfois je m'y retrouve bloqué
Il n'y a personne et j'ai beau toquer
Mais tu sais je crois que j'ai compris un truc si tu lâches prise
La déprime c'est du sucre ouais c'est du cash fils
Les gens se gargarisent avec tous les jours
Comme si c'était une taff quali d'amnes' bien lée-rou
Je peux te le jurer j'y ai passé pas mal de temps
Bien assez pour te dire qu'on se sent mieux en sortant
Grands esprits torturés ne naviguent que sur des tourbillons
Et n'ont de cesse de se cuire la rate au court-bouillon
Combien de fois je me suis fait prendre dans le piège quand
Tout seul dans mon siège blanc, j'étais pas à l'aise non
Je cherchais l'apaisement au milieu d'un soulèvement
Froissé comme un vêtement je me perdais bêtement
J'avais beau ouvrir les yeux la vision était noire
C'est comme si j'étais aspiré par un entonnoir
Seul dans une immense pièce qu'on y pense c'est
Comme une danse mais là tous tes membres saignent
Mes heures de déprime me guettent
Mes heures de déprime me shoot
Mes heures de déprime me renvoient
Tout à l'arrière du convoi
J'ai construit une prison mentale
Dans laquelle je me sens mal
Et parfois je m'y retrouve bloqué
Il n'y a personne et j'ai beau toquer
Writer: Sacha Viladoms
Copyright: Lyrics © O/B/O DistroKid
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