On fait tout beaucoup trop viteet pas bienon se prend et on se quittec'est pour rienquand on voit tous les gensils ne pensent qu'à l'argentils sont de plus en plus bêtes et méchantsmoi aussi et je me sens si fatiguéeje voudrais m'arrêter sur ton oreillertous ces trains qui partent pour nulle parttrop tôt, trop tardça donne le cafardje voudrais en finirarrêter de courirje voudrais pouvoir direpouce au-revoirje voudrais me blottirdans tes bras et dormirje voudrais pouvoir direpouce au-revoiron est mal et on a maltout le tempson se perd dans du banaldans du ventles gens sont des moutonsils tournent tous en rondquoi qu'ils fassentils savent que leur compte est bonmoi aussi et je me sens si fatiguéeje voudrais m'arrêter sur ton oreillertous ces trains qui partent pour nulle parttrop tôt, trop tardça donne le cafardje voudrais en finirarrêter de courirje voudrais pouvoir direpouce au-revoirje voudrais me blottirdans tes bras et dormirje voudrais pouvoir direpouce au-revoir