Vision d'orage,
J'voudrais pas qu'tu t'en ailles.
La passion comme une ombre,
Fallait que j'y succombe.
Tu m'enlacais,
Dans les ruines du vieux Rome.
A part nous, y a personne.
Seul le tonnerre rÃÂÃÂÃÂÃÂÃÂÃÂÃÂésonne,
M'emprisonne,
Tourbillone.
Comme un ouragan
Qui passait sur moi,
L'amour a tout emportÃÂÃÂÃÂÃÂÃÂÃÂÃÂé.
T'es restÃÂÃÂÃÂÃÂÃÂÃÂÃÂée, l'envie
Et l'accent d'furie
Qu'on ne peut plus arreter.
Comme un ouragan,
La tempete en moi
A balayÃÂÃÂÃÂÃÂÃÂÃÂÃÂé le passÃÂÃÂÃÂÃÂÃÂÃÂÃÂé,
AllumÃÂÃÂÃÂÃÂÃÂÃÂÃÂé le vice.
C'est un incendie
Qu'on ne peut plus arreter.
Vision d'image
D'un voyage qui s'achÃÂÃÂÃÂÃÂÃÂÃÂÃÂève
Comme une nuit sans reve,
Une bataille sans treve,
Cette nuit ÃÂÃÂÃÂÃÂÃÂÃÂÃÂÃÂ Rome.
Ton absence me dÃÂÃÂÃÂÃÂÃÂÃÂÃÂévore
Et mon cÃÂÃÂÃÂÃÂÃÂÃÂÃÂÃÂur bat trop fort.
Ai-je raison ou tort
De t'aimer tellement fort ?
Comme un ouragan
Qui passait sur moi,
L'amour a tout emportÃÂÃÂÃÂÃÂÃÂÃÂÃÂé.
T'es restÃÂÃÂÃÂÃÂÃÂÃÂÃÂée, l'envie
Et l'accent d'furie
Qu'on ne peut plus arreter.
Comme un ouragan,
La tempete en moi
A balayÃÂÃÂÃÂÃÂÃÂÃÂÃÂé le passÃÂÃÂÃÂÃÂÃÂÃÂÃÂé,
AllumÃÂÃÂÃÂÃÂÃÂÃÂÃÂé le vice.
C'est un incendie
Qu'on ne peut plus arreter.
DÃÂÃÂÃÂÃÂÃÂÃÂÃÂésir, trahir, maudire, rougir,
DÃÂÃÂÃÂÃÂÃÂÃÂÃÂésir, souffrir, mourir, pourquoi ?
On ne dit jamais ces choses lÃÂÃÂÃÂÃÂÃÂÃÂÃÂÃÂ .
Un sentiment secret, d'accord,
Un sentiment qui hurle fort.