Colore le monde, sans feutre, sans épreuves ni bombesIndolore les murs, et coule dans le fleuve la factureEn monnaie de singe, fraîche blanche comme le lingeA jamais répand du fard sur les hommes comme le tempsColore la foule , colore mes veinesChaque jour il me révèleEn chair de poule, en dieu du cielEt la foule sort de mes veinesOui comme le temps est un amiIl colore mon paysDes dieux, mes surs j'en vois de toutes les couleursPour des cieux, mes frères s'engagent sur des routes à l'enversMais là haut décide, fait le ménage fait le videSur la peau répand du fard sur les hommes comme le temps