Rien qu'un soir sans consommer mon visage est froid et angoissé
Je veux oublier la misère, pour ça je ne connais que la bière
Ça brûle mon temps, mon énergie
Ça flingue mon crâne et mes envies
Rien à foutre de tes jugements, c'est qu'à moi-même que je mens
Je me détruis par pulsions, je sors les armes comme bâillon
J'arrêterai quand j'irai mieux, mais en attendant je deviens vieux