Tes sourires qui vagabondent
Quand est-ce ?
Tout tes chants, les cris, le coeur
La dernière de tes secondes
Où est-ce ?
Dans les nuits blanches où tu demeures
L'avarie d'un vide immense,
Ou est-ce, la lumière nue du projecteur ?
Ton départ est en avance
On laisse, alors on laisse durer les heures
À la fin tout recommence
Renaissent, les lendemains centenaires
Les sillons sont des turbulences
La promesse, de mélanger nos verres en l'air
Accroché à ton courage
Pour ne plus tomber de haut
On relira toutes tes pages
On revivra tout tes mots
Quand est-ce ?
Quand est-ce ?
Quand est-ce ?
Quand est-ce ?