Brûler un cierge et faire le deuil
Passer des heures dans un fauteuil
Voir le concierge du courrier peut être
Mais plus personne n'écrit de lettre
Me souvenir la dernière fois
Comme j'ai creusé profond en toi
Pour en sortir un peu de joie
Même un vieux reste
Même un éclat
Au lieu de ça
Hélas pour moi
Cela valait il la peine
L'immense peine que je me traîne
Cela valait il le coup
Les vilains coups
Les bleus partout
Brûler un cierge et faire un vœu
Arrêter d'espérer des cieux
Et du concierge de tes nouvelles
Couper la ligne fermer les mails
Me souvenir l'amour en fane
Terminal et ses métastases
Enfin sortir de cette névrose
Que mes cellules grises
Virent au rose
Qu'elles se reposent
Qu'elles prennent une pause
Cela valait il la peine
L'immense peine que je me traîne
Cela valait il le coup
Les vilains coups
Les bleus partout
L'immense peine que je me traîne
Les vilains coups
Les bleus partout
S'il fallait vraiment une raison
De chanter encore une chanson
Ce serait conservé l'exact lumière de nos sourires
Intacte
Quand nos cœurs brûlés comme deux cierges
A Biarritz
Rocher de la vierge
Cela valait il la peine
L'immense peine que je me traîne
Cela valait il le coup
Les vilains coups
Les bleus partout
L'immense peine que je me traîne
Les vilains coups
Les bleus partout
L'immense peine que je me traîne
Les vilains coups
Les bleus partout