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Alvin - Dualité Lyrics



Alvin - Dualité Lyrics




Il tendait la main, sans même qu'on ne lui demande
Il était persuadé, cet homme valeureux et tendre
Que le bon se diffuse aussi bien que le mauvais
Que c'était peut-être ça, au final, que de faire preuve d'humanité
Que le vrai secret du bonheur serait peut-être de faire le bonheur des autres
Si chacun faisait de même, on pourrait plus se rejeter la faute

Mais voilà que l'interpelle, un homme, de grande couture vêtu
Disant: "Tu as tendu la main! Dis pas le contraire! Je t'ai vu!
Vous me faites marrer, vous, les bons samaritains modernes
À passer vos journées à tenter de passer pour des modèles
Vous prétendez prôner entraide, gentillesse, altruisme
Mais vous et moi savons très bien qui en retire les bénéfices
Ca vous permet de vous mentir sur le bonheur que vous apportez
Vous voulez passer pour martyr au moment de partir
Espérant une vie meilleure, une fois passé de l'autre côté
Pouvoir vous dire, quand vous fautez que ça va. Franchement y a pire
Et bien laisse moi te dire que vous êtes de sacrés fils
Et ceux bien que la bienséance ne permette pas que je finisse
Vous faites passer nos désirs pour de simples vices
Nos victoires pour des coup bas, nos agissements pour des supplices"

Puis l'homme jeta pour la forme un dernier regrd dédaigneux
Laissant son adversaire le visage sombre les larmes au yeux
Une petite voix dans la tête disant: "Peut-être qu'il n'a pas tord?
Fais-tu ça pour les autres ou pense tu à toi d'abord?"
Comme il se sentait généreux, en rendant les autres heureux
Cet homme au discours froid était peut-être un signe des cieux
Alors, il délaissa les faibles, le cœur emplit de remords
Cessa de s'aider lui-même, préférant l'aide des plus fort

Oh, dualité des choses ! Tu rends la vie si compliqué
Tu prends tout ce qu'il te plaît pour en faire jaillir son contraire
Tu transformes le beau en laid, le lait en camembert
Le sage en idiot complet et le rêveur en terre-à-terre

En entendant cette histoire, Mesdames, Messieurs comprenez
Que, peut importe les cœur brisés, peut importe les âmes blessés
Au moment où l'homme commet son forfait
Il est certain qu'il ai pensé faire ce qu'il fallait
En entendant cette histoire, Mesdames, Messieurs comprenez
Que, peut importe les cœur brisés, peut importe les âmes blessés
Au moment où l'homme commet son forfait
Il est certain qu'il ai pensé faire ce qu'il fallait
[ Correct these Lyrics ]

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Il tendait la main, sans même qu'on ne lui demande
Il était persuadé, cet homme valeureux et tendre
Que le bon se diffuse aussi bien que le mauvais
Que c'était peut-être ça, au final, que de faire preuve d'humanité
Que le vrai secret du bonheur serait peut-être de faire le bonheur des autres
Si chacun faisait de même, on pourrait plus se rejeter la faute

Mais voilà que l'interpelle, un homme, de grande couture vêtu
Disant: "Tu as tendu la main! Dis pas le contraire! Je t'ai vu!
Vous me faites marrer, vous, les bons samaritains modernes
À passer vos journées à tenter de passer pour des modèles
Vous prétendez prôner entraide, gentillesse, altruisme
Mais vous et moi savons très bien qui en retire les bénéfices
Ca vous permet de vous mentir sur le bonheur que vous apportez
Vous voulez passer pour martyr au moment de partir
Espérant une vie meilleure, une fois passé de l'autre côté
Pouvoir vous dire, quand vous fautez que ça va. Franchement y a pire
Et bien laisse moi te dire que vous êtes de sacrés fils
Et ceux bien que la bienséance ne permette pas que je finisse
Vous faites passer nos désirs pour de simples vices
Nos victoires pour des coup bas, nos agissements pour des supplices"

Puis l'homme jeta pour la forme un dernier regrd dédaigneux
Laissant son adversaire le visage sombre les larmes au yeux
Une petite voix dans la tête disant: "Peut-être qu'il n'a pas tord?
Fais-tu ça pour les autres ou pense tu à toi d'abord?"
Comme il se sentait généreux, en rendant les autres heureux
Cet homme au discours froid était peut-être un signe des cieux
Alors, il délaissa les faibles, le cœur emplit de remords
Cessa de s'aider lui-même, préférant l'aide des plus fort

Oh, dualité des choses ! Tu rends la vie si compliqué
Tu prends tout ce qu'il te plaît pour en faire jaillir son contraire
Tu transformes le beau en laid, le lait en camembert
Le sage en idiot complet et le rêveur en terre-à-terre

En entendant cette histoire, Mesdames, Messieurs comprenez
Que, peut importe les cœur brisés, peut importe les âmes blessés
Au moment où l'homme commet son forfait
Il est certain qu'il ai pensé faire ce qu'il fallait
En entendant cette histoire, Mesdames, Messieurs comprenez
Que, peut importe les cœur brisés, peut importe les âmes blessés
Au moment où l'homme commet son forfait
Il est certain qu'il ai pensé faire ce qu'il fallait
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Writer: Alvin BERNIER
Copyright: Lyrics © O/B/O DistroKid

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Alvin - Dualité Video
(Show video at the top of the page)


Performed By: Alvin
Length: 2:33
Written by: Alvin BERNIER

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