[ Featuring TEPR ]
On est des éclaireurs
Comme d'hab
On prendra les coups
Tu connais, c'est comme ça
Laisse les croire qu'ils nous ont devancé
J'ai pris l'espoir à pleines mains , sans leur demander
Bouge pas d'un pouce ou tu t'éteins
Tire de loin les douze coups depuis demain
Parle de vie, parle peu du monde
De la vitesse à laquelle tu tombes
Retiens-la comme tu peux
Peu importe son visage
Elle te porte, elle t'enterre
Et c'est quand elle veut
Du feu nait les peines que t'apprend par coeur
Au pire, tu les chantes à les rendre meilleures
T'as vu l'étrangeté du vide quand elle te laisse
Seul
Tu connais, c'est comme ça
Parle de vie, parle peu du monde
De la vitesse à laquelle tu tombes
Tu parles aux murs, frère
Je parle aux étoiles
Aux détails, aux images debout
Qui nous font tout refaire
Me parlez plus de bouger les codes
On a tout pété
On vit au-delà du mur, on n'attend plus l'Hiver
On parle aux anges, aux démons qui nous ont soufflés l'Art
On zappe le temps, les prénoms qui prennent les faux départs
Aux grands pontes, aux petits que l'espoir atteint
Retiens la vie comme tu peux
Mais retiens-la bien
Si on t'étouffe tes cris
Si les chemins se perdent
Et qu'on a fait tout pour
Et qu'ils ont fait tout pour
Si les sirènes viennent te lever tôt
Qu'elle a claqué la porte
Perdu dans un rêve où t'avais plus les mots
Retiens-la comme tu veux, et même sur le fil
Approche-la, prie ton Dieu
Fais le comme tu peux
Le temps ne presse plus
Lui il n'existe pas
Aujourd'hui tu respires
Demain t'es plus là
A t'accrocher sur le toit du monde
Prends des poses falsh à l'éclat du nombre
Calibré, parle pour que tout passe toujours
Et que le reste n'ait plus rien de bon
Impose le silence en haut-lieu
J'porte la violence à cause d'eux
Parle de vie, parle peu du monde
De la vitesse à laquelle tu tombes
Tu parles aux murs, frère
Je parle aux étoiles
Aux détails, aux images debout
Qui nous font tout refaire
Me parlez plus de bouger les codes
On a tout pété
On vit au-delà du mur, on n'attend plus l'Hiver
On parle aux anges, aux démons qui nous ont soufflés l'Art
On zappe le temps, les prénoms qui prennent les faux départs
Aux grands pontes, aux petits que l'espoir atteint
Retiens la vie comme tu peux
Mais retiens-la bien