Rarement me suis-je senti si vide
À l'amour fraternel succède un rien béant
Tous ces souvenirs me paraissent si doux-amers
Tout ce qui m'entoure, si éphémère
Je me prends souvent à vouloir te parler, ou me dire à quel point
Tu aurais aimé quelque chose. Aimé la vie
Et même si je déteste ce sentiment
Je veux que jamais il ne me quitte
Je veux que jamais tu ne me quittes