Je prends la tangente sous l'arc de la nuitSur ma nuque bleue cheveux noirs de pluieY a peut-être un ailleurs, un accord majeurJ'attends pas la fin de cette mort griseDe mes yeux éteints des chevaux de friseY a peut-être un ailleurs, plus loin du malheurY a peut-être un ailleurs, y a peut-être un ailleursLes casses, le sang, l'acier, la mortLe vice, les coups toujours plus fortsPartir, partirLa crasse, l'ennui, le feu, la rouilleL'angoisse, les cris, la pluie, la trouillePartir, partirJ'ai la clé qui ouvre sur un blues bleuSur la ligne blanche reste un mort ou deuxY a peut-être un ailleurs, un accord majeurJ'veux plus du fatal, je remets les gantsJusqu'au point final où tout le monde descendY a peut-être un ailleurs, vu des extérieursY a peut-être un ailleurs, y a peut-être un ailleursLes casses, le sang, l'acier, la mortLe vice, les coups toujours plus fortsPartir, partirDans le mur noir j'ai fait mon trouUn long couloir qui va jusqu'oùPartir, partirSi tu vois un homme dans un port solaireAssis sans un mot sur le quai désertPose pas de questions, il sait plus son nomAttend un bateau partant pour l'oubliQui vient le chercher au bout de la nuitY a peut-être un ailleurs, un accord majeurY a peut-être un ailleurs, y a peut-être une erreur...