On croyait savoir tout sur l'amour
Depuis toujours,
Nos corps par coeur et nos coeurs
Au chaud dans le velours.
Et puis te voilÃÂÃÂÃÂÃÂÃÂÃÂÃÂÃÂ bout de femme,
Comme soufflÃÂÃÂÃÂÃÂÃÂÃÂÃÂée d'une sarbacane.
Le ciel a mÃÂÃÂÃÂÃÂÃÂÃÂÃÂême un autre ÃÂÃÂÃÂÃÂÃÂÃÂÃÂéclat
Depuis toi.
Les hommes poursuivent ce temps
Qui court depuis toujours,
VoilÃÂÃÂÃÂÃÂÃÂÃÂÃÂÃÂ que t'arrives
Et que tout s'ÃÂÃÂÃÂÃÂÃÂÃÂÃÂéclaire sur mon parcours,
Pendue ÃÂÃÂÃÂÃÂÃÂÃÂÃÂÃÂ mon cou comme une liane,
Comme le roseau de la sarbacane.
Le ciel s'est ouvert par endroits,
Depuis toi.
Pas besoin de phrases ni de longs discours,
ÃÂÃÂÃÂÃÂÃÂÃÂÃÂÃÂa change tout dedans, ÃÂÃÂÃÂÃÂÃÂÃÂÃÂça change tout autour.
Finis les matins paupiÃÂÃÂÃÂÃÂÃÂÃÂÃÂères en panne,
Lourdes comme des bouteilles de butane,
J'ai presque plus ma tÃÂÃÂÃÂÃÂÃÂÃÂÃÂête ÃÂÃÂÃÂÃÂÃÂÃÂÃÂàmoi,
Depuis toi.
Pas besoin de faire de trop longs discours,
ÃÂÃÂÃÂÃÂÃÂÃÂÃÂÃÂa change tout dedans, ÃÂÃÂÃÂÃÂÃÂÃÂÃÂça change tout autour,
Pourvu que jamais tu ne t'ÃÂÃÂÃÂÃÂÃÂÃÂÃÂéloignes,
Plus loin qu'un jet de sarbacane,
J'ai presque plus ma tÃÂÃÂÃÂÃÂÃÂÃÂÃÂête ÃÂÃÂÃÂÃÂÃÂÃÂÃÂàmoi,
Depuis toi.
Alors te voilÃÂÃÂÃÂÃÂÃÂÃÂÃÂÃÂ bout de femme,
Comme soufflÃÂÃÂÃÂÃÂÃÂÃÂÃÂée d'une sarbacane.
Le ciel s'est ouvert par endroits,
Depuis toi.
Oh depuis toi...