Elle n'aimait pas mon deux-pièces séjour
Toi qui voyages si tu la croises un jour
Reviens me dire
Reviens me dire
Dis-moi un peu si elle porte toujours
Dans les cheveux ses essences d'amour
Et tous mes rêves
Sur ses lèvres
Mais promets-moi, ne t'approche pas trop
Si tu poses tes doigts au bronze de sa peau tu délires
Tu délires
Sans me méfier je l'ai serrée très fort
Aujourd'hui encore
J'en ai les yeux qui brûlent
Qui brûlent
Elle, elle a l'âge des voyages au long cours
Des princes arabes, des mariages d'amour
Des esclaves libres, des histoires à suivre
Moi je ne rentrais souvent qu'un soir sur deux
Et mes amis étaient des gens curieux
Difficile à suivre mais dis-lui
Je réapprends à vivre
Mais promets-moi, ne t'approche pas trop
Si tu poses tes doigts au bronze de sa peau tu délires
Tu délires
Sans me méfier je l'ai serrée très fort
Aujourd'hui encore
J'en ai les yeux qui brûlent
Qui brûlent
Elle n'aimait pas mon deux-pièces séjour
Et toi qui voyages si tu la croises un jour
Reviens me dire
Reviens me dire
Dis-lui que pour elle je donnerais
Mon dernier souffle et même celui d'après
Celui d'après, même
Celui d'après
Et dis-lui que pour elle je donnerais
Mon dernier souffle et même celui d'après
Celui d'après, même
Celui d'après
Oh, dis-lui que pour elle je donnerais
Mon dernier souffle et même celui d'après
Celui d'après, même