Okahana !
Okahana !
Okahana ! Okahana ! Okahana !
Okahana !
Okahana !
Okahana ! Okahana ! Okahana !
Toute ta vie n'est qu'une chambre
Et cette chambre c'est septembre
Qui la peuple jusqu'à la mort
Toute la vie n'est qu'une enfance
Et cette enfance est sans défense
Dès que souffle le vent du nord
Okahana ! Okahana !
Des p'tits bonheurs, des p'tits tracas par-ci par-là
Okahana !
Tu ne sais pas
En vérité ce que veut dire Okahana !
C'est Hosanna mais en sanscrit
Quand on veut exprimer sa joie avec des cris
Toute sa joie ou bien ses haines
Les plus lointaines de ses peines
Les premières désillusions
L'existence n'est qu'un manège
Et ce manège depuis le collège
Tourne parfois dans une prison
Okahana ! débrouille-toi
Et bien rira le dernier quand son tour viendra !
Ça tourne toujours
Et pris de court
On se retrouve avec un grand besoin d'amour
Il est parti le temps d'aimer
J'n'ai pas compris quand la porte allait se fermer
Solitude amie, aimante jamais démente, sans tourmente
Tu me donnes souvent la main
Tu connais au fil des heures
L'endroit où pleure dans sa demeure
L'ancien bandit des grands chemins
Okahana ! Okahana !
La vie verra ce que la mort emportera
Okahana ! Okahana !
La vie verra ce que la mort emportera
Okahana ! Okahana !
La vie verra ce que la mort emportera
Okahana ! Okahana !
La vie verra ce que la mort emportera