(Oster On The Beat) yah, yah, yah, yah!
(Sku-sku-sku-sku-sku) eh yo Oster
J'tenais à te dire bravo pour la prod!
Skurt!
Yah, yah, yah!, sucer des bites m'intéresse pas, nique sa mère le CSA
RSA khoya arrête ça kho, j'te redescends d'ton piédestal
CDC c'est ma capitale, j'suis un ancien comme Abidal
Tous ces rappeurs ont des couilles dans la bouche, j'crois pas que ce soient les amygdales
Royal Offshore, j'ai pas ton temps, Baïla merci pour les pâtes au thon
Présomption d'innocence n'existe pas si tu t'appelles Ramadan
Roche Bobois, une chicha menthe, j'suis avec une meuf qui est chaude à mort
Elle pense à moi, son mi amor, moi, j'pense à faire des mises à mort
Au tribunal, assis sur un banc, on réfléchit, mais on tire avant
Dans ton zen, j'ai vu un peu de blanc, tout baiser, khoya, c'est ça, le plan
Banlieusard dans le Bentayga, dans le bendo, khoya, le biff, t'as pas
Tu parles mal, on t'abat
Dis-toi qu'on per-ra pour les vrais, que pour les vrais
Et on te laisse tter-gra quelques gobelets, nous on paie, on paie
On est frais, l'oseille on le fait
On arrive tout droit de ces endroits délabrés
On per-ra pour les vrais, que pour les vrais
Et on te laisse tter-gra quelques gobelets, nous on paie, on paie
On est frais, l'oseille on le fait
On arrive tout droit de ces endroits délabrés
J'ai une bombasse à mon bras, t'as une seringue à ton bras
Des fois c'est chaud, mais t'y arriveras, la vie rend dur comme le viagra
J'regarde jamais l'étiquette, frérot, les prix je m'en bats les steaks
J'emporterai rien avec moi, j'ai le front au sol, direction la Mecque
Maman mes larmes n'ont pas séché, mon Seigneur, j'ai trop pêché
Un jour, la mort va se dépêcher et j'paierai le dounia TTC
Si ta balance au comico, oublie les sourires amicaux
Dans la promenade sous l'œil du gradé, tu vas laisser quelques chicots
Putain, ça schlingue à Bois d'Arcy, aujourd'hui, c'est Bois d'Argent
"Nique sa mère monsieur l'agent", ce genre de phrase c'est alléchant
Fils d'ouvrier, j'ai la vie d'un roi, tu veux percer, kho, crois en toi
Quelques rageux m'envoient des tweets haineux en direct de Pôle Emploi
J'vis la nuit, car on m'a dit que j'allais mourir un jour
La vie est une pute khoya et chaque soir j'lui fais l'amour
Dis-toi qu'on per-ra pour les vrais, que pour les vrais
Et on te laisse tter-gra quelques gobelets, nous on paie, on paie
On est frais, l'oseille on le fait
On arrive tout droit de ces endroits délabrés
On per-ra pour les vrais, que pour les vrais
Et on te laisse tter-gra quelques gobelets, nous on paie, on paie
On est frais, l'oseille on le fait
On arrive tout droit de ces endroits délabrés
Eh yo bitch, tu veux test Fouiny, on s'en bat les couilles
Texte explicite, sors l'automatique, on ramasse pas les douilles
Dans le club, on t'a niqué ta mère, au shtar, on t'a dépouille
Toujours sapé sur plusieurs gammes, on s'dit qu'même ta nne-chie mouille, même Cardi B mouille
Khoya, t'a pris trop d'ecstasy et tu voyais partout des Mickey, whooh
La go avec bouteille à l'œil, j'crois bien qu'elle a sucé le DJ, ooh
Les footeux, c'est comme les rappeurs, la plupart du temps c'est surcoté
Ils prennent le taureau par les cornes mais du mauvais côté
Ils veulent tester des barres, La fierté, l'honneur se font rare
M'en bats les couilles, j'sors de chez l'concessionnaire dans le nouveau Velar
J'ai connu des michtonneuses, vendraient leur mères pour du buzz
J'ai jeté en l'air un an de leur salaires sur le cul d'une stripteaseuse
On per-ra pour les vrais, que pour les vrais
Et on te laisse tter-gra quelques gobelets, nous on paie, on paie
On est frais, l'oseille on le fait
On arrive tout droit de ces endroits délabrés
On per-ra pour les vrais, que pour les vrais
Et on te laisse tter-gra quelques gobelets, nous on paie, on paie
On est frais, l'oseille on le fait
On arrive tout droit de ces endroits délabrés (yah, yah, yah)