Imaginaire ou réelle, fiction télévisuelle, on est pris dans le jeu
Aux règles parallèles, en découvrir le panel, ici, la planète est bleue
Présenté comme un appel, pour que la vie soit belle
Les enculés nous harcèlent, ils volent et recèlent.
L'épaisseur de leurs liasses, pousse les autres dans l'impasse, qui va droit dans le trou.
Ils pistent à la trace, gardent le contrôle de l'espace et imposent leur bagout.
Car ils ont mis en place, une mécanique sa race, pour que ça rentre dans les clous.
Enculés, enculés.
(instrumental)
Pas besoin de prières pour les satisfaire, juste rentrer dans leur jeu.
Sapé ou à découvert, peu importe le transfert, ici, les cartes sont bleues
Va pas pleurer ta mère, ces enculés sont nos pères.
Des coups de pied au derrière, va ramasser ton salaire.
Pour graisser la carcasse, de la machine qui s'encrasse, bienvenue chez les fous.
Mais le butin de la nasse, saccager par ces rapaces, devient des miettes et des coups.
De lacrymo de menace, fait attention à ta face, si tu ne restes pas dans les clous.
Enculés, enculés.
(instrumental)
Jamais de marche arrière, même quand ça dégénère, ils s'enfoncent dans le jeu.
Pitoyables et pervers, juste pour les affaires, ils ont terni le bleu
Pachamama la terre mère, leur insolence t'indiffère.
Dans ton parcours millénaire, l'enculé n'est que poussière.
Plus qu'à regarder en face la machine qui se ramasse et qui nous prend le chou.
Tellement à la ramasse, quand le tiers-monde boit la tasse, le financier, il compte ses sous.
Y en a marre des sales races, prenez celui-là dans la face, enculés...
Votre vision du monde, dirigée par le pognon, elle vaut rien du tout, rien du tout...
Enculés, enculés
(instrumental)