Es mi edén de tristeza una sonrisa y dos lágrimas cayendo lentamente, deslizandose en la página, la esperanza se seca y se evapora con el viento con el aire porque aun siento que vibro con tu aliento, sigo pensando en esas noches al lado tuyo, en una relación tan seria de nada sirve el orgullo, así que guárdalo cerrado bajo llave en tu recuerdo, que nos lleve el viento a un lugar de fantasías y sueáos, es mi edén es mi tristeza, sigo en un mundo marchito, lejos de todo lo demas, apartado de tu palpito, poco a poco siento frío, siento la lluvia caer, yo quiero ahogarme en tu rio, ser aquel niáo, quiero poder sentir tus besos, tus caricias, tus abrazos, tu cariáo en estos versos, pido un deseo cada día pero nunca se cumple, el mismo sueáo cada noche mi dormir interrumpe, me corrompe tu imagen en mi cabeza, veo tus ojos, tu mirada, tu admirable belleza, siento tus labios rozarme al acostarme eres mi hada en la cama compartiendo soledad junto a mi almohada, quiero llenar ese vacío que tu dejaste en mi interior que da dolor odio y amor, me enamoraste, con tan solo una mirada hiciste de mi un niáo único y feliz, creí en tí, en un infinito sinfín, la felicidad está en el camino y no en el destino, me dijo un fiel amigo cuando mi mundo se hundió en lo profundo, como en arenas movedizas, busco la luz en un mar de oscuridad que se desliza por un folio, por un folio que no se acaba, quiero abrir puertas que para mi siguen cerradas, sigo andando parado, camino contra la pared y nunca avanzo, el reloj se rompió, jamás calmé mi sed, este es mi edén de tristeza, escucho gritar al silencio, suena un eco en el vacío, siento frío siento el adiós de tus labios, porque llegaste a ser lo que más llegué a querer, fuiste mi edén, mi vida el fin, el hoy y el ayer.
PUMPKIN:
Il ny a pas d' justice entre nous, que le silence dans mon eden.
Repris justice, j'efface des traces de ton ADN, et pris justice.
J'avou pour que l'affaire puisse voir hausser la graine.
Le fil me tien à bout l'absence cause de mes graines.
Que-ce passe t'il? Quelle heure est til?
Personne ne me répond. Sur la boîte à lettres il n'y a plus que mon nom.
Je suis déboussolée dans un monde de plein mobiles les personnes nagent
souriantes mais trop mobiles. Là je fait silence manque que le volume,
la foule évolue bile, soluble ma pensé se dissout, ne fais pas de billes.
pour effacer la mémoire il suffit d'ôter la pile et brûler les photos
qu'au fil du bonheur on empile. Qui suis-je là devant le monde, pas une seule
Seconde d'ôter en un instant pour penser à exister. Les heures passent lentement on m'a laissé là
comme un va qui déconne en attente du
lendemain qui chante. Mais ce n'est pas moi qui chahute, ce n'est pas moi qui rechute personne ne me discute. La vie est
une histoire drôle attention à la chute le
vi si vi nous frôle attention à l'uppercut.
Attiré par le solstice et sous le néon, on
me rit au nez, on dit de moi que je suis
un parasite met on faire la sourde, m'embourbe
dans ne foule on me donne des coudes, que des
gens qui boudent là
on se pousse, pas de coups de pouce, pas de place
pour tous pas d'oxygène pour ce qui toussent . . . . . . . .tu sorts
le stylo de sa trousse l'amour est mort et
il à laissé son odeur sur le draps-housses
je sourit et sa me semble . . . . . . mais qui
le sait qui le sent si insensé que cela semble
dehors le mauvais sens s'enfuit comme un néant de
sang, dedans un courant d'air et je m'envole avec les cendres.
Je cesse de danser la lièce et en . . . . . . . . pièce
Je connais la chanson et elle m'empêche de penser,
j'hésite entre rester ou va quand je passe l'instant . . . . . . . distant
personne ne m'attend