Y a trop de sensations à gérer ici, l'amour, la haine,
Pour certains les drogues, l'alcool, les fantômes du passé nous traquent
Heywa
Pourquoi ai-je si mal au ventre? Moi qui me vante d'être un homme dur,
Pourquoi ai-je si froid quand ils ventent? Quelque chose me torture,
Me bouffe l'oxygène, plus d'appétit quand je déjeune,
Petit à petit je ressens les coups comme si j'étais plus jeune,
Je sais plus où me mettre dois-je admettre,
Être affaiblit, caché entre les lignes de ma lettre,
Perçois mon mal-être, en cette lettre,
Douleur atroce, je perds mes forces, je craque tellement je suis croc,
En train de craquer, je tire une tête de croque-mort, l'amour m'a drogué,
Le c ur pourtant anesthésié a trouvé le nerf
Vivant overdose et mon coeur un mort vivant,
Je voulais faire bien pour changer,
M'éloigner des dangers comme un voyou de se ranger,
Rongé par le passé, triste vécu, je rêvais d'affection, de protection, pour me sentir en sécu',
Blazé par la routine qui m'use, blazé par les boites de nuit,
Toujours assis quand tu t'amuses fatigué des mauvaises news.
Les fantômes du passé me traquent comme un shlak, sortit de cure, à chercher,
Un gars me propose du crack faut pas je craque,
Remues pas le couteau dans la plaie quand je perds tout mon sang,
Le regard perçant quand tu le vois tu le ressens.
Les fantômes du passé me traquent comme un shlak, sortit de cure, à chercher,
Un gars me propose du crack faut pas je craque,
Remues pas le couteau dans la plaie quand je perds tout mon sang,
Le regard perçant quand tu le vois tu le ressens.
Je moisis pas en prison, mais je cohabite avec la poisse,
Mon passé braque mon présent, le futur bloqué dans le sas,
Resasse les souvenirs, les bons les mauvais délires,
Recyclé en B.E.P car je ressemble à mon avenir,
Pendant que j'explose de rire tu peux compter mes chicos,
On m'a dit reste comme ça, c'est toi, c'est le charme du ghetto,
Si j'avais pas vécu ici j'aurais été quelqu'un d'autre,
Si j'avais pas manqué mon père j'aurais fait beaucoup moins de fautes,
Mêmes avec les scies, on bouffe du bois crois moi,
J'ai de quoi raser l'Amazonie moi et mon autre moi Housni,
Chacun sa notion de la vie, ses passages avides, sa maturité,
Ses intérêts ses poches vides que Dieu nous guide
Entre croyants et non-croyants, comme un dépend
Entre voyants et non-voyants, mais voyons,
Toutes les té-ci veulent s'en sortir comme Sami Nasri,
Marqué à vie, je compte plus les rayures sur ma carrosserie.
Les fantômes du passé me traquent comme un shlak, sortit de cure, à chercher,
Un gars me propose du crack faut pas je craque,
Remues pas le couteau dans la plaie quand je perds tout mon sang,
Le regard perçant quand tu le vois tu le ressens.
Les fantômes du passé me traquent comme un shlak, sortit de cure, à chercher,
Un gars me propose du crack faut pas je craque,
Remues pas le couteau dans la plaie quand je perds tout mon sang,
Le regard perçant quand tu le vois tu le ressens.
C'est dur de me donner de l'amour, en recevoir peu en échange,
Où qu'on consomme ton humour, et ta tristesse dérange,
Manque de respect peu de gentillesse,
Sauf quand ça t'arrange, qui me rend si énervé et étrange,
C'est tous ces soucis qui te rongent et qui te plongent,
Dans la solitude malgré la foule,
Tout le monde pense qu'à sa gueule, et ton besoin se fait refoule,
Tu te replis sur toi-même et ce qui me fout les boules,
C'est que tu me fout la haine alors j'inspire à être cool,
Je suis dans le sous-sol de l'amertume et tu me captes pas,
Ne jacte pas sur ma vue c'est que tu m'acceptes pas comme je suis,
Je reviens de loin épargne moi tes caprices,
Y a du mérite je tiens la route avec mes deux pieds motrices,
Grâce à Dieu, je surmonte les épreuves ma preuve de sciences et de preuves,
Sa manière de faire qui font des rappels,
Car ils font tout ce qu'ils peuvent pour sauver ses idées sont neuves,
Quand je vais crever mes ouvres mes musiques seront veuves.
Les fantômes du passé me traquent comme un shlak, sortit de cure, à chercher,
Un gars me propose du crack faut pas je craque,
Remues pas le couteau dans la plaie quand je perds tout mon sang,
Le regard perçant quand tu le vois tu le ressens.
Les fantômes du passé me traquent comme un shlak, sortit de cure, à chercher,
Un gars me propose du crack faut pas je craque,
Remues pas le couteau dans la plaie quand je perds tout mon sang,
Le regard perçant quand tu le vois tu le ressens.
Les fantômes du passé me traquent comme un shlak, sortit de cure, à chercher,
Un gars me propose du crack faut pas je craque,
Remues pas le couteau dans la plaie quand je perds tout mon sang,
Le regard perçant quand tu le vois tu le ressens.
Les fantômes du passé me traquent comme un shlak, sortit de cure, à chercher,
Un gars me propose du crack faut pas je craque,
Remues pas le couteau dans la plaie quand je perds tout mon sang,
Le regard perçant quand tu le vois tu le ressens.