La femme que j'aime est un pays
Dont le ciel n'est jamais le même
Sous le soleil ou sous la pluie
A l'infini je m'y promène
Je ne veux rien perdre du poème
La femme que j'aime est mon pays
La femme que j'aime est un abri
Aucune laideur n'y pénètre
Entre le béton et le gris
Il y a des fleurs à ses fenêtres
Je peux m'y faire tout petit
La femme que j'aime est mon abri
La femme que j'aime est mon dimanche
C'est du bonheur dont je m'habille
La femme que j'aime est ma revanche
Le coté soleil de ma vie
La femme que j'aime est une nuit
Où le temps n'a plus rien à faire
Sur une étoile notre lit
S'envole a mille années-lumière
Et quand nous revenons sur terre
Il fait tendresse sur la vie
La femme que j'aime est une histoire
Que m'a raconté mon destin
Je l'ai gravée dans ma mémoire
Je n'avais pas en voir la fin
Car je veux vivre pour y croire
La femme que j'aime est mon histoire
La femme que j'aime est mon dimanche
C'est du bonheur dont je m'habille
La femme que j'aime est ma revanche
Le coté soleil de ma vie
La femme que j'aime est un pays
Dont le ciel n'est jamais le même
Sous le soleil ou sous la pluie
A l'infini je m'y promène
Je m'y promène
Je m'y promène
Je m'y promène
Je m'y promène