Comme le feu du ciel désintégrant mon cur chaque jourComme la peur mortelle qui s'accroche à la fin d'un amourJe te regrette en silenceEt je pleure la nuit car je n'ai pas de couragePas de courageComme le fond de l'air qui se prépare à faire la pluieEt comme le tonnerre qui ne voudrait pas faire de bruitJe te regrette en silenceEt je rejette aussi tout ce que disent les sagesDisent les sagesPour la première fois je suis totalement désemparéePour la première fois je suis absolument abandonnéePas de condoléances...Mais quand vient le silence je pense, je pense, je penseQue tout le monde devrait être malheureuxQue tout le monde devrait être malheureux autant que moiQue tout le monde devrait être malheureuxQue tout le monde devrait être malheureux autant que moi.Comme le phare en mer qui deviendrait fantasmagoriqueComme le chateau de verre qui se ferait parfois métalliqueTant que vivra l'espéranceEt tous mes souvenirs, je n'aurai pas de couragePas de courageComme le feu du ciel désintégrant mon cur chaque jourComme la peur mortelle qui s'accroche à la fin d'un amourJe te regrette en silenceEt je pleure la nuit car je n'ai pas de couragePas de couragePour la première fois je suis totalement désemparéePour la première fois je suis absolument abandonnéePas de condoléances...Mais quand vient le silence je pense, je pense, je penseQue tout le monde devrait être malheureuxQue tout le monde devrait être malheureux autant que moi.